Le roman sentimental, la B.D., les blogs, les récits du terroir font aujourd'hui partie de notre univers culturel. Parfois perçus comme des objets futiles, ces mauvais genres présentent cependant une vertu appréciable : celle de susciter, chez beaucoup, le goût de la lecture. L'école ne peut l'ignorer, sans pour autant se couper des valeurs traditionnelles. Comment aborder en classe la question de la lecture des mauvais genres ? Quels enjeux culturels, idéologiques, didactiques, représente l'enseignement de/par les mauvais genres ? Ce sont ces questions – notamment – que le présent volume entend aborder.