Jean-Jacques Didier, Pierre Tréfois
Essorer : du latin exaurare « exposer à l'air » ; de ex- « hors de » et aura « vent, air ».
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Arnaud Delcorte
Tjukurrpa est un monde en soi. Le reflet éphémère d'un univers dans une goutte de rosée qui s’évapore au réveil. Un ailleurs intérieur.
Carl Vanwelde
Ni avec la légèreté de l'hésitation, ni la brusquerie de la timidité vaincue (Vercors)
Pierre Tréfois, Véronique Wautier
Valentine De Cordier, Pierre Tréfois
Est-ce le signe qui nous enferme dans un sens ou nous qui enfermons le sens dans le signe ? Paul MATHIEU (En venir au point)
Godelieve Vandamme, Véronique Wautier
De lecture en lecture (de regard en regard), on s'avise qu’il nous est proposé ici une sorte de mise en abyme. Dans les mots de Véronique Wautier et dans les dessins / peintures de Godelieve Vandamme, les uns d’ailleurs appelant les autres – étant appelés par eux.
Première édition
Jean-Louis Rambour, Pierre Tréfois
L'originalité de ce livre et sa force sont dues au fait que Jean-Louis Rambour et Pierre Tréfois, au lieu de poser côte à côte des mots et des images, ont fait de leur rapprochement une proximité révélatrice.
Dessins et poèmes « issus d'un rouge persistant, aussi bien le rouge d’un drapeau d’espoir que celui d’un sang sacrifié » (J.L. Rambour).
« Nous naissons chaque jour, dans chaque morceau de pain », pour repousser le désespoir… Nous le faisons à plusieurs, coudes serrés, mémoire hissée au mât de notre résistance. Inspirée par l'oeuvre de Juan-Manuel Echavarría, la poésie de Matthieu de Nanteuil est un tissage en creux, une partition de silences.
Gérard Dutry, Lucien Putz
L'un a dessiné, ce qu'il sait si bien faire. Quarante dessins, des lignes, des courbes, des triangles et des couleurs. L'autre a choisi quinze de ces dessins et a joué avec les mots, il a écrit, décrit, inventé.
Il arrive qu'on tourne et qu'on retourne une phrase dans sa bouche toute la journée, comme un noyau d’olive dirait le romancier Erri De Luca.
Anne Denis, Pierre Mainguet
Le quotidien n'a pas la cote. On lui fait procès d'uniformité, de monochromie,d'ennui. Certes, notre existence sublunaire n'est pas un roman de cape et d’épée :
Matthieu de Nanteuil, Nadine Fabry
Les mots de Matthieu de Nanteuil, les encres de Nadine Fabry… Il s'agit d'ombre et de lumière, de vents et de nuages, de ciels chargés de braises quand vient le soir, de givre quand le matin renaît.
Confier le jour aux ignorants – que, peu ou prou, nous sommes tous – c'est ouvrir, à leur intention, un livre où les dessins de Godelieve Vandamme et les poèmes de Véronique Wautier, allés de concert, offrent couleurs, signes et mots échangeant...