Grégori Jean est agrégé et docteur en philosophie de l'Université de Nice Sophia-Antipolis. Il est actuellement chercheur du Fonds de la recherche scientifique belge (FRS-FNRS) à l’Université catholique de Louvain, où il poursuit ses recherches sur l’histoire du courant phénoménologique et sur la phénoménologie contemporaine, tant dans ses enjeux proprement ontologiques que dans ses rapports avec les sciences humaines et sociales.
Figures et réceptions, First Edition
Joaquim Hernandez-Dispaux, Grégori Jean
Dans quelle mesure la philosophie française du XXe siècle est-elle habitée, voire hantée par la pensée kierkegaardienne ? Loin d'appartenir à un passé révolu, la pensée kierkegaardienne est bel et bien encore devant...
Catherine Kintzler et l'universalisme de la laïcité, First Edition
Catherine Kintzler, Jean Leclercq
Jean Leclercq, Jorge Morales
Ce livre est construit comme une respiration autour d'un texte magistral et engagé de Catherine Kintzler sur le dispositif laïque et son champ philosophique où ce professeur d'exception.
Les enjeux philosophiques d'une pandémie
Tout « moment » de crise globale et généralisée dans la vie des humains invite à reposer les questions philosophiques primordiales : qu'avons-nous appris de nous-mêmes et de l’état de notre monde ? Où allons-nous désormais, et comment ? Et que devons-nous faire ? Un petit livre pour nous aider à vivre et à nous orienter !
Démocratie, État de droit et crise sanitaire – Essai intempestif
Nicolas Thirion
Qu'une pandémie survienne est une chose, mais qu’elle enclenche, en temps de paix, un tel système de restrictions des libertés publiques en est une autre. Des pans entiers de notre existence quotidienne ont été atteints de façon inédite. Pire encore, notre vie « privée » a été et reste mise en danger. Mais pourquoi donc et comment ?
Entre théories et pratiques
Jean Leclercq, Paula Lorelle
Loin de rejeter le « monde » dans les limbes d'un sensible insensé, ou de projeter sur lui une conceptualité prédéterminée voire méta-physique, la phénoménologie, même lorsqu’elle le critique, se veut logos du « monde », en lui empruntant sa matière riche, ouverte et variée.