Soixante ans après la libération des camps, ce qui paraissait l'impensable est revenu gangrener nos sociétés. Des écrivains, des plasticiens, des essayistes, des historiens avancent des mots pour combattre et analyser. Tant il est vrai que l’on ne peut plus se contenter aujourd’hui de la pensée d’Adorno sur l’impossibilité d’écrire après Auschwitz – quelle que soit la vérité historique de son affirmation.
Marcel Moreau, Raoul Vaneigem, Franck Venaille, Pierre Debauche, Daniel Mayer, Étienne Barilier, Sylviane Roche ou Jean-Euphèle Milcé… y répondent.
Introduction
1. Cadre conceptuel
1.1 L'évolution de la notion de participation directe 7
1.2 La participation directe dans l’entreprise flexible 12
1.3 Les acteurs sociaux dans l’entreprise contemporaine 16
1.4 La participation directe dans les entreprises chiliennes 24
2. Présentation de la recherche 29
2.1 Le terrain de recherche 29
2.2 L’option de la monographie 31
2.3 Les orientations méthodologiques de la recherche 32
2.4 Les principaux résultats de la monographie 35
3. La participation directe et les acteurs de la modernisation
3.1 Les transformations de la modernisation 41
3.1.1 Les axes de transformation organisationnelle 41
3.1.2 Les transformations du travail de maintenance 45
3.1.3 La gestion sociale des transformations 51
3.2 Les acteurs de la modernisation 55
3.2.1 L’acteur menacé 56
3.2.2 L’acteur frustré 57
3.2.3 L’acteur impliqué 59
3.2.4 Les superviseurs 61
3.3 Les participations de la modernisation 62
3.3.1 La participation de la démocratie 63
3.3.2 La participation de l’emploi 64
3.3.3 La participation de l’enrichissement 66
3.3.4 La participation de l’employabilité 67
Conclusions
Références Bibliographiques
Annexe, table de matières de la thèse (en espagnol)