Soixante ans après la libération des camps, ce qui paraissait l'impensable est revenu gangrener nos sociétés. Des écrivains, des plasticiens, des essayistes, des historiens avancent des mots pour combattre et analyser. Tant il est vrai que l’on ne peut plus se contenter aujourd’hui de la pensée d’Adorno sur l’impossibilité d’écrire après Auschwitz – quelle que soit la vérité historique de son affirmation.
Marcel Moreau, Raoul Vaneigem, Franck Venaille, Pierre Debauche, Daniel Mayer, Étienne Barilier, Sylviane Roche ou Jean-Euphèle Milcé… y répondent.