Tjukurrpa est un monde en soi. Le reflet éphémère d'un univers dans une goutte de rosée qui s’évapore au réveil. Un ailleurs intérieur. Read More
C'est le rêve et la réalité, réalité des sentiments qui sourdent comme une eau lourde des fissures du corps ou de l’âme. Soubresaut des sangs à l’instance du désir et vive intoxication des sens. Avec une légère nostalgie de l’autre en interférence. Du lien. Dans Tjukurrpa il y a aussi la solitude de l’homme
sans voix devant la vanité des grands déserts. Des rumeurs du ciel. Dix jours ou huit cent soixante-quatre mille secondes. Un bref instant de vie et une éternité.