« Chagrin tenace » : l'autre nom de l’espoir. Read More
Celui que l'on tient caché au fond des poches et que l’on tend comme un tract au passant. On sait le sang et la crosse qui s’abat sur la nuque, on sait les pas de Rosa Luxemburg qui la conduisent à la Spree et à la mort, on sait tout cela et d’autres choses encore. Mais on regarde les dessins de Pierre Tréfois et on lit les poèmes de Jean-Louis Rambour et ce que l’on découvre c’est que le sang, aussi docile soit-il, ne suffit pas à effacer « la lumière qui rêve ».
Julien Carré