Le sujet. Dieu et Isabelle
Ce recueil d'allégories – où l'érotisme côtoie la mystique – réinvente l’art de la fable. Ici, les jours portent des titres de noblesse, le temps se déroule à l’envers, et les femmes changent de prénoms en fonction du moment de la journée. Ici, Dieu, patron d’un monde qui le dépasse de plus en plus, voit son pouvoir concurrencé par celui de la jeune Isabelle, incarnation de la beauté et de la séduction féminines, qui consacre l’essentiel de son temps à mépriser l’homme.
1. Avant-propos p. 5
2. Visage et numérique,
quelle urgence ? p. 7
2.1. Rien n'est moins personnel
que le visage p. 9
3. Capturer les visages p. 15
3.1. La reconnaissance faciale p. 15
3.2. La reconnaissance faciale des émotions,
un réductionnisme de l’âme p. 33
3.3. Le deep fake,
comme si de rien n’était p. 40
3.4. De la discipline au contrôle,
de Foucault à Deleuze p. 43
4. Perdre son visage p. 49
4.1. Vivre dans la crise p. 53
4.2. Distanciation sociale et « distanciel »,
perdre son corps p. 60
4.3. Échapper au regard, perdre la face p. 64
4.4. Télétravailler, l’épuisement
paradoxal p. 68
5. Le visage comme éthique première :
retour à Lévinas p. 71
6. Visage et vision :
les yeux numériques p. 77
7. Conclusions p. 85