On est volontiers persuadé d'avoir lu beaucoup de choses à propos de l'holocauste (...). Et, convenons-en avec une sincérité égale au sentiment de la honte, quelquefois, devant l'accumulation, on a envie de crier grâce. C'est que l'on n'a pas encore entendu Levi analyser la nature complexe de l'état du malheur. (...)