7 REMERCIEMENTS
9 ONT COLLABORE A CE VOLUME…
15 INTRODUCTION. UN ESPACE AUX DIMENSIONS DE NOS LIMITES ET DE NOS RÊVES, par Luc COURTOIS et Jean PIROTTE
16 A. Investir son espace
17 B. Invitation au voyage
23 PREMIÈRE PARTIE. FONDEMENTS
25 LIEUX DE MÉMOIRE ET STRUCTURATION DU MENTAL, par Jean PIROTTE
25 A. Première approche
25 B. Les lieux et la mémoire des communautés
27 1. Un regard ordonnateur sur le monde
27 2. Un instrument au service des causes
29 3. L'alternance des mémoires
30 C. Aux sources anthropologiques d'une démarche
30 1. Un socle culturel : héritages judéochrétiens
32 2. Un socle anthropologique : une maîtrise symbolique de l'espace
33 3. Un socle biologique : marquer son territoire
35 AU CARREFOUR DES RÉALITÉS TANGIBLES ET DE LA PENSÉE MYTHIQUE. L'HISTOIRE ENTRE MYTHES ET RÉALITÉS, par Jean PIROTTE
36 A. Le mythe
36 1. Le mythe et son entrée dans le champ des sciences humaines
38 2. Détruire le mythe ou vivre avec ?
41 B. Le mythe dans la marche de l'histoire
41 1. Mythes, légendes et rumeurs
42 2. Constructions identitaires et amplification mythique
44 C. Le mythe dans l'écriture de l'histoire
49 LA WALLONIE AUX MILLE VISAGES : DES TROUS DE MÉMOIRE AUX LIEUX DE MÉMOIRE, par Philippe RAXHON
49 A. Mémoire, vous avez dit mémoire ?
51 B. Révolution, vous avez dit Révolution ?
53 C. D'un site à l'autre
55 D. Objets de mémoire
60 E. L'exemple d'un chant révolutionnaire comme lieu de mémoire
73 DEUXIÈME PARTIE. UN ESPACE, DES CHOSES, DES USAGES ET DES MOTS
75 MÉMOIRES OCCULTÉES, MÉMOIRES RÉVÉLÉES : LES TRAVAUX DES INGÉNIEURS FRANÇAIS ET HOLLANDAIS EN WALLONIE (1797-1830), par Marcel WATELET
78 A. Mémoires occultées
78 1. Le poids de l'historiographie et les traditions de recherches
80 2. Des sources difficilement accessibles
82 B. Mémoires révélées
83 1. Structure et organisation territoriales
84 2. Lieux de décision
85 3. Lieux de la production cartographique
86 4. Formes d'une nouvelle technicité
88 5. Extension typologique
88 6. Normalisation, codification des usages et métrologie nouvelle
90 7. Marques d'autorité et gestion comptable
91 8. Procédures de contrôle et exécution des travaux
93 PAYSAGES... L'AMNÉSIE N'EST PAS LA MORT !, par Gérard BAVAY
93 A. En Wallonie... une certaine image du paysage
94 B. Wallonie-Amnésie : les raisons d'un « mal-entendu »
97 C. Au-delà de la tradition orale et de la mémoire collective...
98 D. ... construire une nouvelle mémoire
99 E. Paysage et mémoire : le poids de l'irréversible
103 UNE IDENTITÉ PAYSAGÈRE ? LES OPINIONS DE LA MOUVANCE MILITANTE WALLONNE AU PREMIER QUART DU XXe SIÈCLE, par Arnaud PIROTTE
104 A. Une corde sensible de l'« âme » wallonne
109 B. Des « crèstias d'Moûse » aux terrils
115 C. Terroir, « miroir de notre âme »
121 LE FOLKLORE ET LES TRADITIONS POPULAIRES DE WALLONIE. L’EXEMPLE DU MUSÉE DE LA VIE WALLONNE A LIÈGE, par Roger PINON
121 A. La part du folklore dans la mémoire collective des Wallons
128 B. Le Musée de la Vie Wallonne, mémoire des traditions populaires
132 C. Quelques suggestions personnelles en guise de conclusion
137 LA MÉMOIRE DES NOMS (IM)PROPRES EN WALLONIE, par Jean GERMAIN
147 LA MÉMOIRE DES MOTS DE LA WALLONIE DANS LE FRANÇAIS CONTEMPORAIN, par Michel FRANCARD
148 A. Perspective lexicographique : les mots de la Wallonie dans le français général
148 1. Les emprunts du français général aux parlers de la Wallonie romane
151 2. Les régionalismes de Wallonie identifiés par les dictionnaires de référence
153 B. Perspective sociolinguistique: les mots de la Wallonie face au français de référence
153 1. La concurrence des formes linguistiques
154 2. La concurrence des normes linguistiques
155 C. « Savoir-dire » communicationnel et « vouloir-dire » identitaire
156 Bibliographie
161 TROISIÈME PARTIE. JALONS DE L’HISTOIRE : ESSAIS ET ERREURS
163 LA MÉMOIRE DE LA ROMANISATION, par Fabienne VILVORDER
163 A. La romanisation
166 B. Les sources
168 C. Tradition et mémoire des sites
172 D. Les outils de la mémoire
172 E. Les lieux de mémoire : le patrimoine majeur de Wallonie
175 LES ÉGLISES WALLONNES DES PAYS-BAS COMME LIEUX DE MÉMOIRE RELIGIEUSE, par Hugh R. BOUDIN
175 A. Églises du Refuge
178 B. Les Églises wallonnes des Pays-Bas ont-elle effectivement un avenir ?
179 1. L'usage de la langue française
179 2. Des lieux de culte dont l'architecture est remarquable
179 3. La qualité du pasteur
180 4. Le nombre restreint de fidèles par communauté
181 5. Une autre façon d'approcher l'Écriture
181 6. La tradition des Églises wallonnes
181 7. Un certain élitisme
182 8. Une grande liberté et une large tolérance
183 Liste des Églises wallonnes classées selon leur ancienneté
187 LE CATÉCHISME DES RÉGIONS WALLONNES SOUS L’ANCIEN RÉGIME, FACTEUR CULTUREL, CRÉATEUR ET RÉVÉLATEUR D’UNE MENTALITÉ COMMUNE, par Omer HENRIVAUX
188 A. Le catéchisme comme institution
1. Le catéchisme paroissial 188
2. La mise en place d’une école dans chaque paroisse 189
189 B. Le catéchisme comme pratique
189 1. De la mémoire à la compréhension
190 2. Un cheminement par un jeu de questions et réponses
190 3. Des histoires pour confirmer les explications
191 4. Le chant
191 C. Le manuel
195 LA GRANDE MÉMOIRE DU GRAND-HORNU, par Marinette BRUWIER et Maryse WILLEMS
195 A. La grande mémoire du Grand-Hornu
196 1. Le Grand-Hornu et l’innovation technologique
198 2. L’architecture du Grand-Hornu
199 3. La cité ouvrière du Grand-Hornu
201 B. Développement et réhabilitation du Grand-Hornu. L’ancien char-bonnage à l’aube du XXIe siècle
201 1. Lieu d’architecture
201 2. Lieu de mémoire
201 3. Lieu d’industrie
202 4. Lieu de recherche
202 Le tourisme
202 La culture
202 La technologie
202 La prospective
203 Bibliographie
205 LES WALLONS ET L’INDUSTRIALISATION DES ASTURIES : QUATRE LIEUX DE MÉMOIRE (1833-1983), par Maria del Mar DIAZ GONZALEZ et Antonio NIEMBRO PRIETO
206 A. La Compagnie royale asturienne des mines
206 1. Analyse descriptive de l’entreprise « La Compagnie royale asturienne des mines » d’Arnao (1833-1983)
212 2. D’autres Wallons dans les Asturies
214 B. Fabrique d’Armes des Asturies (Trubia et Oviedo). Le Général Francisco de Elorza
215 C. L’industrie Solvay à Lieres (Pola de Siero)
216 Conclusion
217 LE « BEFFROY DE LA VICTOIRE » : UN LIEU DE MÉMOIRE BELGO-WALLON AVORTE, par Alain COLIGNON
220 A. Nouvelle carte d'identités
229 B. La Tour, prends garde
235 C. Quand un mémorial chasse l'autre
240 D. Du « beffroi de la Victoire » à la victoire du « Mémorial »
242 E. Une symbolique wallonne laborieuse
245 LA POSITION FORTIFIÉE DE NAMUR EN 1914 ET 1940 : UN LIEU DE MÉMOIRE AUX OUBLIETTES DE L’HISTOIRE, par Jacques VANDENBROUCKE
246 A. 1914-1924 : de la résistance à la suppression de la PFN
247 B. La PFN reprend du service
247 C. La « drôle de guerre » en Namurois
249 D. « Les forts sont isolés. Résistez à outrance... »
250 E. Face à l’ennemi, un seul mot d’ordre : solidarité
251 F. Mission accomplie !
253 LE MONUMENT AUX VICTIMES DE GRACE-BERLEUR EST-IL UN LIEU DE MÉMOIRE DU MOUVEMENT WALLON ?, par Paul DELFORGE
253 A. Quels liens unissent question wallonne et Affaire royale ?
256 B. Le monument des victimes de Grâce-Berleur est-il un lieu de mémoire du mouvement wallon ?
257 1. L’hommage socialiste
260 2. Grâce-Berleur et le mouvement wallon 1957-1990
265 LOUVAIN-LA-NEUVE : DU WALEN BUITEN A L’AFFIRMATION WALLONNE, par Luc COURTOIS
266 A. De Leuven à Louvain-la-Neuve
267 1. La flamandisation des cours de l’Université de Louvain
270 2. Le « Walen buiten »
275 3. Louvain-la-Neuve : le « grand dessein »
277 B. La toponymie urbaine comme lieu de mémoire
285 ESSAI D’INVENTAIRE DES LIEUX DE MÉMOIRE LIES AU MOUVEMENT WALLON (1940-1997), par Paul DELFORGE
286 A. Site sans construction
287 B. Site construit qui émerge / monument
287 1. Waterloo (1940)
287 2. Liège (1941)
287 3. Nivelles (1944)
288 4. Walcourt (1945)
288 5. Liège (1945-1947)
288 6. Marcinelle. Buste de Destrée (1950)
288 7. Ixelles (1950)
288 8. Macon-lez-Chimay
288 9. Jemappes (1952)
288 10. Bruxelles (1953)
289 11. Namur (1954)
289 12. Jumet (1954)
289 13. Sart-en-Fagne (1954)
289 14. Tournai (1954)
289 15. Liège (1956)
289 16. Mons (1956)
290 17. Namur (1956)
290 18. Gembloux (1956)
290 19. Ath (1956)
290 20. Bruxelles (1956)
290 21. Bruxelles (1957)
290 22. Malmedy (1957)
291 23. Charleroi (1957)
291 24. Grâce-Berleur (1957)
291 25. Haine-Saint-Pierre (1958)
291 26. Liège (1958)
291 27. Verviers (1958)
291 28. Wavre (1958)
292 29. Bierges (1958)
292 30. La Louvière (1958)
292 31. Châtelet (1959)
292 32. Namur (1959)
292 33. Huy (1959)
292 34. Namur (1960)
293 35. Mons (1961)
293 36. Fleurus (1961)
293 37. Chênée (1962)
293 38. Seraing (1963)
293 39. Polleur (1964)
293 40. Laeken (1967)
294 41. Ath (1968)
294 42. Dampremy (1969)
294 43. Nivelles (1970)
294 44. Amay (1972)
294 45. Stavelot (1974)
294 46. Bouvignes (1974)
295 47. Fontenoy (1975)
295 48. Tournai (1975)
295 49. Morlanwelz (1976)
295 50. Namur (1979)
296 51. Verviers (1980)
296 52. Tilleur (1981-1995)
296 53. Soumagne (1984)
296 54. Verviers (1984)
296 55. Namur (1985)
296 56. Liège (1985)
297 57. Fourons (1985)
297 58. Liège (1986)
297 59. Vergnies (Froidchapelle) (1989)
297 C. Essai de classement
299 Conclusions
301 ÉPILOGUE. LE CHEMIN SE FAIT EN MARCHANT, par Luc COURTOIS et Jean PIROTTE
302 A. Les entraves d’une mémoire wallonne
302 1. La charge symbolique et émotionnelle liée à l’État belge
302 2. Lente émergence d’un paysage mental wallon
303 B. Ancrages d’une mémoire wallonne
303 1. Choisir sa mémoire ?
304 2. Un territoire à reconnaître et à s’approprier
306 3. Un territoire à peupler d’un imaginaire
308 4. Un territoire à célébrer : les lieux patrimoniaux
309 5. Des balises de l’histoire pour choisir un sens ?
311 6. Des racines dans un « ailleurs »
312 C. Mémoire et projet
315 TABLE DES MATIÈRES