« Le Bestiau » est la première partie de Périzone : inspirant, classique, visuel, vraiment insolite et poétique. « L'Os », la deuxième partie : obscénité derrière le voile, sous le périzone. L’auteur se « striptease », s’autoanalyse. Traître ou trahi ? Autoportrait courageux et lucide. Enfin on sait, on découvre, il était temps. Et ça fait sens.