Actualités de droit social

Revenu d'intégration sociale, activation chômage et règlement collectif de dettes - CUP 116

Coordination éditoriale de Jacques Clesse, Michel Dumont

Deux thèmes principaux ont été retenus en fonction des questions qui se posent avec acuité aux juridictions du travail.


Le premier porte sur la figure du contrat en droit de la sécurité sociale : l'État social actif y a introduit la notion de contrat pour responsabiliser l’assuré social. Le contrat contenant un projet individualisé en matière de droit à l’intégration sociale, obligatoire ou non selon le cas, et celui d’activation que sont amenés à conclure les chômeurs qui ne se montrent pas suffisamment actifs dans la recherche d’un emploi, sont ainsi examinés. Il est utile de les traiter ensemble pour mieux faire ressortir leurs différences, non seulement dans le chef de l’assuré social qui doit s’y plier, mais aussi dans le chef de l’institution de sécurité sociale amenée à conclure ce contrat avec l’assuré social. Dans les deux cas, le rôle (actif) du juge est abordé.


Le second sujet est lui aussi d’une actualité brûlante pour les juridictions du travail auxquelles la lourde charge a été transférée : le règlement collectif de dettes. Le volumineux examen de jurisprudence et les questions spéciales abordées permettent de se rendre compte du foisonnement des interrogations auxquelles le juge du travail, siégeant seul, doit répondre. Il est vrai que le nombre de dossiers explose littéralement !


Le passage de la procédure unilatérale à la procédure contradictoire pose la délicate question, dans ce type de procédure hybride, des parties à mettre à la cause, situation d’autant plus complexe que le règlement collectif de dettes connaît des procédures accessoires, au sein ou à côté de l’instance principale, pour le règlement d’incidents concernant la procédure elle-même ou encore le médiateur de dettes.


Une autre question complexe est celle de la vente mobilière ou immobilière des biens de la personne bénéficiant d’un règlement collectif de dettes.


Enfin, la difficile articulation du règlement collectif de dettes avec les autres procédures de protection de la personne, des droits et des biens, tant du médié que de sa famille, mais aussi, notamment avec la protection des créanciers ou des victimes d’actes délinquants, clôture l’examen de ce sujet appelé à un bel avenir surtout en cette période de crise.


Livre broché - 72,00 €

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Spécifications


Éditeur
Anthemis
Partie du titre
Numéro 116
Auteur
Hakim Boularbah, Elise Dermine, Ariane Fry, Vanessa Grella, Joël Hubin, Philippe Jehasse, Fanny Laune, Jean-François Neven, Philippe Versailles,
Coordination éditoriale de
Jacques Clesse, Michel Dumont,
Collection
Commission Université-Palais (CUP)
Langue
français
BIC subject category (UK)
L Law > LAQ Law & society
Code publique Onix
06 Professionnel et académique
Date de première publication du titre
2010
Type d'ouvrage
Monographie

Livre broché


Date de publication
01 janvier 2010
ISBN-13
978-2-87455-223-6
Ampleur
Nombre de pages de contenu principal : 352
Code interne
9782874552236
Format
16 x 24 x 1,9 cm
Poids
561 grammes
Prix
72,00 €
ONIX XML
Version 2.1, Version 3

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Sommaire


1
Le projet individualisé en matière de droit
à l'intégration sociale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7
Philippe VERSAILLES
chercheur aux F.U.N.D.P., avocat
Introduction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8
SECTION 1
Le projet individualisé comme mode de concrétisation
du droit à l’intégration sociale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9
A. Le contrat préalable au contrat de travail . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .11
B. Le contrat pour les étudiants . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12
C. Le contrat assorti au revenu d’intégration . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15
SECTION 2
Le projet individualisé comme condition d’octroi
du revenu d’intégration . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15
A. Une condition d’octroi spécifique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .16
B. Le rôle actif du C.P.A.S. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .  . . . 17
C. Les critères généraux d’appréciation du recours au contrat d’intégration sociale . . . . . . . 19
1. L’émancipation sociale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 19
2. L’aide la plus appropriée . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 19
3. La concertation avec le demandeur . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 19
4. Le libre choix du demandeur . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 20
D. Les critères particuliers d’appréciation du recours au contrat d’intégration sociale .  . 21
1. Les aspirations, les aptitudes, les qualifications et les besoins . . . . . . . . . . . . . . . 21
2. Les possibilités du C.P.A.S. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 22
3. Une juste proportionnalité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 22
4. L’objectif d’intégration sociale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 23
E. Le régime du contrat d’intégration sociale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 24
1. L’élaboration du contrat . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 24
2. Le contenu du contrat . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 24
3. L’évaluation du contrat . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 25
4. Le déménagement du bénéficiaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 25
F. Exemples . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .26
SECTION 3
La nature juridique du contrat d’intégration sociale . . . . . . . . . . . . . . . . . 27
A. La décision administrative . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 27
B. Le contrat d’intégration sociale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 29
C. Une législation d’ordre public . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .  . 30
SECTION 4
Le contentieux du contrat d’intégration sociale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 32
A. La conclusion du contrat . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .32
B. L’exécution du contrat . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .33
C. La résiliation du contrat . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .36
SECTION 5
L’aide sociale financière assortie d’un contrat
d’intégration sociale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 37
SECTION 6
Le rôle du juge . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 39
Conclusion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 44
2
Le contrôle de l’obligation pour les chômeurs
de rechercher activement un emploi . . . . . . . . . . . . . . . 45
Jean-François NEVEN
conseiller à la cour du travail de Bruxelles, maître de conférénces invité à l'U.C.L.
Élise DERMINE
assistante à l'U.C.L., avocate
Introduction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . 46
CHAPITRE 1
Présentation de la procédure d’activation
du comportement de recherche d’emploi . . . . . . . . . . . . . 48
SECTION 1
Le contexte d’adoption de la procédure d’activation
et les objectifs poursuivis . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 48
A. La procédure d’activation, concrétisation de l’État social actif ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 48
1. L’État social actif . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 48
2. La procédure de suivi et le contrat d’activation, traduction
de l’État social actif dans la réglementation sur le chômage 51
B. La procédure d’activation, réaction au changement de nature du chômage . . . . . . . . . . . 52
C. La procédure d’activation, en remplacement de l’ancien article 80 . . . . . . . . . . . . . . . . . 54
SECTION 2
Le champ d’application de la procédure d’activation . . . . . . . . . . . . . . . 57
SECTION 3
Le déroulement de la procédure d’activation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 61
A. Le rôle des facilitateurs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .  61
B. Les entretiens d’évaluation et les contrats d’activation . . . . . . . . . . . . . . . 63
1. L’avertissement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 63
2. Le premier entretien d’évaluation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 64
a) L’évaluation des efforts . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 64
b) Le premier contrat d’activation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 65
3. Le deuxième entretien d’évaluation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 66
a) Évaluation des efforts suffisants, conformément au contrat . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 66
b) Le deuxième contrat d’activation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 67
4. Le troisième entretien d’évaluation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 67
a) Évaluation du respect du deuxième contrat . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 67
b) Évaluation globale des efforts fournis par le chômeur qui a refusé de signer le premier contrat . 68
C. Les sanctions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. 68
1. L’énumération des sanctions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 68
a) Non-présentation au premier entretien d’évaluation . . . . . . . . . . . . . . . . . . .68
b) Refus de signer un contrat au terme de la première évaluation négative . . . . . . . .69
c) Non-présentation à l’entretien d’évaluation portant sur le respect du premier contrat . 70
d) Évaluation négative du respect des engagements souscrits dans le premier contrat . . . 71
e) Non-présentation à l’entretien d’évaluation portant sur le respect du second contrat . .. 72
f) Évaluation négative du respect des engagements souscrits dans le second contrat
ou évaluation négative en cas de refus de signer un contrat . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 73
2. Caractéristiques générales des sanctions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 74
3. La différence de traitement entre les bénéficiaires d’allocations d’attente
et les bénéficiaires d’allocations de chômage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 75
a) Comparabilité des allocations d’attente et des allocations de chômage . . . . . . . .76
b) Sanction visant les bénéficiaires d’allocations d’attente
sans avoir égard à leur situation familiale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 82
D. Le recours à la Commission administrative nationale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 83
E. La ré-admission après une décision d’exclusion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .86
CHAPITRE 2
Le contrôle judiciaire de l’obligation
de recherche active d’emploi . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 87
SECTION 1
Le respect de l’obligation de motivation formelle
des décisions de l’O.N.Em. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 87
A. L’évaluation consécutive au premier entretien doit-elle être motivée ? . . . . . . . .88
B. La motivation formelle des décisions de suspension et d’exclusion . . . . . . . . . . . . . . . . . 90
C. Conséquences du défaut de motivation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 91
SECTION 2
Le contrôle des contrats d’activation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 92
A. Normes et principes de contrôle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. 92
1. Positionnement de la question . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 92
2. Évolution de la jurisprudence . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 93
a) La jurisprudence antérieure à l’arrêt de la Cour de cassation du 9 juin 2008 . . . .93
b) L’arrêt de la Cour de cassation du 9 juin 2008 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 95
c) La jurisprudence subséquente . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 97
3. Une main administrative dans un gant civiliste . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 98
B. Le contrôle des contrats d’activation au regard des normes de référence . . . . 102
1. L’absence de contrôle effectif de la condition préalable à la signature
d’un contrat d’activation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 102
a) Le contrôle a posteriori : objet et limites . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 103
b) Le contrôle immédiat : un recours existant mais impraticable . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 105
c) Une absence de recours effectif qui pose question . . . . . . . . . . . . . . . . . . 107
2. Le recours contre la décision d’exclusion suite au refus de signer
le contrat . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 108
3. Le recours contre la décision d’exclusion suite au non-respect
d’un contrat d’activation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 109
a) La référence aux principes de droit civil . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 110
b) Le contrôle judiciaire de la compensation entre le non-respect d’actions contractuelles
et l’accomplissement d’autres actions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 118
SECTION 3
Le contrôle des sanctions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 120
A. L’absence de possibilité d’individualisation, une source de discrimination ? . . . . . . . . . 121
1. Jurisprudence relative à la différence de traitement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 121
2. Conséquences d’une violation éventuelle des articles 10 et 11
de la Constitution . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 124
B. L’application du principe de proportionnalité en raison du caractère pénal
des sanctions ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .  126
1. Principes utiles à l’identification du caractère pénal
de certaines sanctions administratives . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 127
2. Nature des sanctions prévues par l’arrêté royal du 25 novembre 1991 . . . . . 130
3. Conséquences pouvant découler du caractère pénal . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 132
Conclusion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 135
3
Le règlement collectif de dettes . . . . . . . . . . . . . . . . . 137
3.1 Examen de jurisprudence récente
en matière de règlement collectif de dettes . . . . . . . . . . . 138
Ariane FRY et Vanessa GRELLA
assistantes à l’U.Lg.,
avocates
Introduction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .138
SECTION 1
Compétence exclusive des juridictions du travail ? . . . . . . . . . . . . . . . . . 140
SECTION 2
Procédure . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 141
A. Décision d’admissibilité (article 1675/2 du Code judiciaire) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 141
1. Personne physique non commerçante . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 141
2. Situation de surendettement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 143
a) Déséquilibre durable et structurel . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 143
b) Briser la spirale de l’accroissement du passif . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .144
c) Caractère irrelevant du nombre de dettes et de la faisabilité du plan . . . . . . . . .145
3. Ne pas avoir organisé son insolvabilité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 146
a) Principes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 146
b) Actes démontrant une organisation d’insolvabilité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 147
c) Obligation de bonne foi procédurale (transparence patrimoniale) . . . . . . . . . . . 149
B. Effets de la décision d’admissibilité(article 1675/7 du Code judiciaire) . . . . . . . . . . . . 150
1. Suspension du cours des intérêts . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 151
2. Égalité des créanciers et suspension des voies d’exécution tendant
au paiement d’une somme d’argent . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 151
a) Clause de réserve de propriété . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .151
b) Expulsion à la suite de la résiliation d’un bail . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 152
c) Saisie-arrêt et condamnation du tiers en tant que débiteur pur et simple du créancier . .  153
3. Situation de concours et compensation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 153
C. Actif ne faisant pas partie de la masse (article 1675/7, al. 2, du Code judiciaire) . . . 154
D. Phase amiable (article 1675/10 du Code judiciaire) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 155
1. Phase privilégiée . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 155
2. Créanciers publics . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 155
3. Effet d’un contredit : passage à la phase judiciaire –
notion de contredit abusif . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 157
E. Phase judiciaire (articles 1675/11 à 1675/13 du Code judiciaire) . . . . . . . . . . . . . . 158
1. Point de départ du plan de règlement judiciaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 158
2. Dettes ne pouvant faire l’objet d’une remise . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 158
3. Remise partielle de dettes et vente des biens saisissables du médié . . . . . . . . 159
F. Remise totale de dettes (article 1675/13bis du Code judiciaire) . . . . . . . . . . . . . . . . . 160
G. Réalisation des biens du débiteur et caractère purgeant de la vente
(article 1675/14bis du Code judiciaire) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 163
H. Quelques questions de procédure particulières
(articles 1675/14 et 1675/16 du Code judiciaire) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 164
I. Révocation (article 1675/15 du Code judiciaire) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 165
1. Demandeur en révocation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 165
2. Cas où la révocation a été prononcée . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 166
3. Cas où la demande de révocation a été rejetée . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 169
4. Répartition des fonds . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 169
J. Statut du médiateur de dettes (articles 1675/17 à 1675/19 du Code judiciaire) . . . 170
1. Partie à la cause ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 170
2. Honoraires et émoluments du médiateur de dettes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 170
a) Critères de fixation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 171
b) Taxation et absence de recours . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 172
K. Articulation entre différentes procédures collectives . . . . . . . . . . . . . . . . .175
Conclusion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 177
3.2 Les parties à la procédure
de règlement collectif de dettes . . . . . . . . . . . . . . . . . . 180
Hakim BOULARBAH
professeur à l’U.L.B., avocat
et
Fanny LAUNE
assistante à l’U.L.B.
Introduction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . 180
SECTION 1
La notion de partie en droit judiciaire privé . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 182
A. Principe . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 182
B. Procédures « mixtes » . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 182
SECTION 2
La procédure principale en règlement collectif de dettes . . . . . . . . . . 185
A. La phase unilatérale : l’admissibilité de la requête . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 185
1. La requête introductive . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 185
a) Par qui ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 185
b) Quelles personnes doivent-elles être mises à la cause ? . . . . . . . . . . . . . . . . .  . 188
c) À qui la décision est-elle notifiée ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 188
2. Les voies de recours . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 189
a) L’appel . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 189
b) La tierce opposition . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 190
B. La phase « contradictoire » : les plans de règlement collectif
de dettes et la remise totale de dettes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 194
1. Le plan amiable . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 194
a) Par qui ? – Quelles personnes doivent-elles y être associées ? . . . . . . . . . . . .. . 194
b) À qui la décision est-elle notifiée ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 195
c) Les voies de recours . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 196
2. Le plan judiciaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 198
a) Par qui ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 198
b) Quelles personnes doivent-elles être mises à la cause ? . . . . . . . . . . . . . . . 198
c) À qui la décision est-elle notifiée ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 198
d) Les voies de recours . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 199
3. La remise totale de dettes dans le cadre de l’article 1675/13bis, § 5,
du Code judiciaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 202
a) Par qui ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 202
b) Quelles personnes doivent-elles être mises à la cause ? . . . . . . . . . . . . . .202
c) À qui la décision est-elle notifiée ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 203
d) Les voies de recours . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 203
C. Le règlement des difficultés et l’adaptation ou la révision du plan . . . . . . . . . . . . . . . . 204
a) Par qui ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 204
b) Quelles personnes doivent-elles être mises à la cause ? . . . . . . . . . . . . . . . . 204
c) À qui la décision est-elle notifiée ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 205
d) Les voies de recours . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 206
D. La révocation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 207
1. Révocation en cours de procédure (art. 1675/15, § 1er,
du Code judiciaire) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 207
a) Par qui ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 207
b) Quelles personnes doivent-elles être mises à la cause ? . . . . . . . . . . . . . . . .. 208
c) À qui la décision est-elle notifiée ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 210
d) Les voies de recours . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 211
2. La révocation après exécution du plan de règlement amiable
ou judiciaire (article 1675/15, § 2, du Code judiciaire) . . . . . . . . . . . . . . . . . 212
a) Par qui ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 212
b) Quelles personnes doivent-elles être mises à la cause ? . . . . . . . . . . . . . . . . .213
c) À qui la décision doit-elle être notifiée ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 213
d) Les voies de recours . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 213
3. La révocation de la remise totale de dettes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 214
SECTION 3
Les incidents de procédure . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 216
A. Les incidents concernant la procédure de règlement collectif de dettes . . . . . . . 216
1. Les demandes d’autorisation (1675/7, § 3, C. jud.) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 216
a) Par qui ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 216
b) Quelles personnes doivent-elles être mises à la cause ? . . . . . . . . . . . . . . . . . .217
c) À qui la décision est-elle notifiée ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 217
d) Les voies de recours . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 218
2. La décharge de la sûreté personnelle (1675/16bis, C. jud.) . . . . . . . . . . . . . . . 219
a) Par qui ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 219
b) Quelles personnes doivent-elles être mises à la cause ? . . . . . . . . . . . . .  . 220
c) À qui la décision est-elle notifiée ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 220
d) Les voies de recours . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 221
3. L’injonction de communication de renseignements (art. 1675/8, C. jud.) . 222
a) Par qui ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 222
b) Quelles personnes doivent-elles être mises à la cause ? . . . . . . . . . . . . . . .  . 222
c) À qui la décision est-elle notifiée ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 222
d) Les voies de recours . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 223
B. Les incidents concernant le médiateur de dettes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .  224
1. Ses honoraires . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 224
a) Qui les fixe ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 224
b) Quelles personnes doivent-elles être mises à la cause ? . . . . . . . . . . . . . . . . . 224
c) À qui la décision est notifiée ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 225
d) Les voies de recours . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 225
2. Son remplacement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 226
a) Qui peut le solliciter ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 226
b) Quelles personnes doivent-elles être mises à la cause ? . . . . . . . . . . . . . . . 226
c) À qui la décision est-elle notifiée ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 227
d) Les voies de recours . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 228
3. Sa récusation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 229
a) Qui peut la solliciter ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 229
b) Quelles personnes doivent-elles être mises à la cause ? . . . . . . . . . . . . . . . . 229
c) À qui la décision doit-elle être notifiée ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 230
d) Les voies de recours . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 230
Conclusions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .  . 231
3.3 Vente mobilière et immobilière
en matière de règlement collectif de dettes . . . . . . . . . . . 233
Philippe JEHASSE
avocat
Introduction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 233
CHAPITRE 1
La mise en vente des meubles du débiteur
dans le cadre d’un règlement collectif de dettes . . . . . . . . . 239
SECTION 1
Généralités . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 239
A. Biens insaisissables . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 239
B. Inopposabilité de certaines aliénations . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . 239
C. Saisies entamées lors de la naissance du concours . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 240
D. Clauses de réserve de propriété . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . 240
SECTION 2
Qui peut diligenter la procédure de vente ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 241
La réalisation des meubles du débiteur à l’initiative du médiateur de dettes . . . . . . . . . 241
SECTION 3
Les formes de la vente . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 242
A. Principes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 242
B. Vente publique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . 242
C. Vente de gré à gré . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 243
SECTION 4
La distribution par contribution . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 243
CHAPITRE 2
La mise en vente des immeubles du débiteur
dans le cadre d’un règlement collectif de dettes . . . . . . . . . 244
SECTION 1
Qui peut diligenter la procédure de vente ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 244
A. La réalisation des immeubles du débiteur à l’initiative du médiateur de dettes . . . . . . 244
B. La vente des immeubles du débiteur n’est pas systématique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 245
SECTION 2
Les formes de la vente . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 245
A. Principes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . 245
B. Vente publique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 246
C. Vente de gré à gré . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 246
SECTION 3
Les immeubles indivis . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 247
A. Principes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . 247
B. Cas particulier . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 247
SECTION 4
Ordre et purge . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 248
A. Définitions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . 248
B. Règlement collectif de dettes, ordre et purge . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 249
C. Les honoraires, frais et débours du médiateur de dettes . . . . . . .  . . . . . . . 249
D. Absence d’ordre et ordre conventionnel . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . 250
Que penser de cette pratique ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 250
E. Ordre conventionnel . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 251
SECTION 5
Radiation des inscriptions et transcriptions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 253
A. Le certificat notarié . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .  253
B. Effets . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 254
3.4 Articulations du règlement collectif de dettes
avec les autres procédures de protection de la personne . . . . 256
Joël HUBIN
premier président de la cour du travail de Liège
SECTION 1
Endettement et surendettement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 256
SECTION 2
L’enjeu de la dignité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 259
SECTION 3
Le développement de l’endettement et du surendettement . . . . . . . 261
SECTION 4
Le réseau actif en matière de lutte contre l’endettement
et le surendettement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 264
SECTION 5
La protection par la prévention . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 266
A. La Centrale des crédits aux particuliers . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 267
B. La régulation du marché . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 269
C. La prévention par la formation et l’information . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . 271
SECTION 6
La protection par la médiation de dettes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 272
SECTION 7
La protection par le droit de l’exécution . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 273
SECTION 8
La prévention et la protection par les C.P.A.S. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 275
A. Le contexte . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 275
B. Les principes d’action du C.P.A.S. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .  . . . . . 275
C. Les modalités d’action . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .  . . . . . . . 276
D. Endettement et aide sociale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 278
E. Surendettement et revenu d’intégration sociale . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . 278
F. La guidance budgétaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 280
G. La médiation de dettes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 280
H. La décision de recourir au règlement collectif de dettes. . . . . . . . . . . . . . . . . . 280
SECTION 9
Le règlement collectif de dettes et la protection des personnes
en droit civil . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . 282
A. Généralités . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 282
B. Les règles du Code civil concernant l’administration provisoire, l’interdiction
et le conseil judiciaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .  . . . . . 282
C. L’administration provisoire l’interdiction et le conseil judiciaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . 284
D. Questions de droit en relation avec la procédure de règlement collectif de dettes . .. 285
E. Le contrôle du médiateur de dettes par l’administrateur provisoire . . . . . . . . . . . . . . . . 287
1. Exposé d’un cas de jurisprudence . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 287
2. Modalités de clôture de la procédure de règlement collectif de dettes
pour cause d’impossibilité de réaliser un plan de remboursement . . . . . . . . . 288
SECTION 10
Examen de jurisprudence en relation avec le thème
de la protection . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 290
A. L’intérêt d’une procédure de règlement collectif de dettes . . . . . . . . . . . . . . . . 290
B. Les limites et la critique du règlement collectif de dettes . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . 290
C. Les enjeux de la procédure de règlement collectif de dettes . . . . . . . . . . . . . . . . . 292
D. Les protections dans la jurisprudence du règlement collectif de dettes . . . .. . . . . 293
1. Avertissement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 293
2. À propos de l’article 1675/3, al. 3, du Code judiciaire :
la protection de la dignité humaine . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 294
a) Le principe . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 294
b) Exposé d’un cas jurisprudentiel . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 294
3. À propos du droit de l’exécution : la dignité humaine et la protection
du logement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 296
a) Le principe . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 296
b) Exposé d’un cas jurisprudentiel . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 297
4. À propos du surendettement et de la protection des familles . . . . . . . . . . . . . 303
a) Premier cas jurisprudentiel : couple séparé, dettes solidaires et remise de dettes
au profit d’un seul des deux débiteurs surendettés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 303
b) Deuxième cas jurisprudentiel : surendettement d’une famille dont un conjoint
est commerçant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 306
c) Troisième cas jurisprudentiel : débiteur médié tenu solidairement et indivisiblement
avec un débiteur commerçant pour le remboursement de la créance devenue exigible
d’un créancier hypothécaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 309
d) Quatrième cas jurisprudentiel : endettement d’une personne mariée sous le régime
de séparation de biens, vivant avec son conjoint . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 313
5. Surendettement et protection des créanciers . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 314
a) Les principes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 314
b) Premier exemple jurisprudentiel : l’égalité des créanciers
dans le cadre d’un plan de règlement judiciaire. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 317
c) Deuxième cas jurisprudentiel : surendettement trouvant pour partie
sa cause dans des prestations de santé . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 319
6. Surendettement et protection des victimes d’actes délinquants . . . . . . . . . . . 320
a) Premier cas jurisprudentiel : Droit de la victime, créancière
d’une indemnisation pour la réparation de son préjudicie corporel . . . . . . . . . . . . . . . . . . 320
b) Deuxième cas jurisprudentiel : dissimulation de la nature délinquante
de l’endettement et manquement au devoir de loyauté. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 324
c) Troisième cas jurisprudentiel : fraude fiscale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 325
7. La remise totale de dettes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 327
a) Principe . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 327
b) Jurisprudence . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 327
8. La détermination du pécule prélevé sur les revenus
pour le débiteur surendetté . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 330
a) Principe . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 330
b) Cas de jurisprudence : la détermination du pécule dans le cadre d’un plan judiciaire . .. 331
9. Règlement collectif de dettes et revenus d’intégration sociale . . . . . . . . . . . . 334
10. Le contrôle du débiteur surendetté par le médiateur de dettes . . . . . . . . . . . . 336