Après avoir été l'espace de l’exception autoritaire, le monde arabe est devenu, au premier semestre de 2011, celui des « révolutions ».
Au leitmotiv de l’incapacité congénitale des pays arabes d’accéder à la démocratie a succédé le discours sur les « printemps arabes » et l’effet de domino supposé de la « révolution tunisienne ».