Le roman. Errances
Bruxelles, New York, Bruxelles. La narratrice tente de se fuir et de se distraire de la disparition de sa mère. Elle rencontre un homme dont elle souhaite percer le mystère. Grâce à une écriture entre pensée et chair, la trame de cette autofiction porte un regard pénétrant et parfois nostalgique sur des circonstances, des émotions, des êtres. Nathalie Gassel scrute le vif se trouvant aux frontières du tragique.
Les personnages. Les vivants et les morts
Ceux que la narratrice croise ou ne croise plus : la mère qui soudain n'est plus et, dans l'urgence de remplacer ce qui vient d’être perdu, un projet d’amour qui s’avérera trop rationalisé ou fonctionnel pour être vrai, quelques corps convoités à l’occasion d’un voyage en avion, un ami qui la fascine, une femme dont elle aimera l’anatomie, l’image et le symbole.